Quand la fusillade est une conséquence de la «Négrine »
1 avril 2011
« Le Burkina n’a pas de pétrole mais il a Blaise Compaoré ».Ce slogan était dit par des burkinabè satisfaits et fiers de leur Président. Des années se sont succédées, le fossé s’est creusé et ne cesse de s’élargir entre les populations qui comptaient bénéficier des revenus du pétrole. Ainsi, des plaintes se font partout, même dans les maquis. Ce qui dénote d’un état d’insatisfaction et de frustration générale. Que…